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Lorsque la science du XVIIe au XVIIIe siècle a inventé le microscope Lister (1786-1869), les êtres humains ont commencé à pouvoir observer les bactéries et les micro-organismes, mais ceci date seulement d’une centaine d'années. Le Bouddha, il y a environ 2800 ans, connaissait déjà leur existence.
Dans les Sutras, on peut apprendre que le Bouddha enseignait à Ses disciples de ne pas utiliser l’œil divin pour observer l’eau car ils pouvaient y voir des vers, et en voyant, ils n’osaient alors pas en boire dans leur estomac. Les "vers" mentionnés dans les Sutras correspondent aux bactéries et aux micro-organismes évoqués de nos jours. En outre, il y a 2800 ans, la définition de "ver" était très large et comprenait la description de cellules, de cellules cancéreuses…
A présent, citons quelques exemples qui se trouvent dans les Sutras pour vous permettre de réfléchir >>>
Le Sutra Saddharma-smrty-upasthana【正法念處經】dit :
- A l’intérieur du squelette, se trouvent deux sortes de "vers", se déplaçant dans l’os et la chair, mangeant souvent ce cerveau. (Propagation du cancer)
- Il y a aussi des "vers" insouciants, vivant dans la tête, rendant l’homme malade. (Maux de tête)
- Il y a aussi des "vers" dans les cheveux, demeurant à l’extérieur des os, se nourrissant souvent des racines de cheveux. (Alopécie)
- Il y a aussi des "vers" dans le nez, se nourrissant de la chair du nez. (Cancer du nez)
- Il y a aussi des "vers" dans les gencives, demeurant dans les dents, provoquant des maux de dents. (Détérioration de l’émail par l’acidité, invasion bactérienne)
- Il y a aussi quatre types de "vers", demeurant à l’intérieur de la gorge, provoquant le désordre dans la salive des gens lorsqu’ils mangent, une fois avalés dans la gorge, avec le liquide du cerveau, pouvant causer des vomissements. (Rhume)
- Il y a aussi deux sortes de "vers", vivant dans les articulations, provoquant de la douleur veineuse des gens. (Arthrite)
- Il y a aussi une sorte de "ver", demeurant dans le corps, ce "ver" se nourrit de sang (remarque : cela désigne la détérioration des globules rouges), provoquant naturellement des gonflements. (Tumeurs)
- Il y a aussi dix sortes de "vers", se déplaçant dans le foie, rendant les gens malades. (Bactéries du foie, hépatite, cirrhose, cancer du foie)
- Il y a aussi vingt sortes de "vers", se déplaçant dans les parties génitales, rendant les gens maigres et leurs organes génitaux malodorants. (Dermatophytose, maladies vénériennes, sida, etc.)
- Il y a aussi dix sortes de "vers", se déplaçant dans l'urine, ayant des formes, des couleurs et des odeurs mauvaises (maladies vénériennes, gonorrhée, urétrite, etc.),
provoquant le dévalement (incontinence, muscles de l'urètre et de la vessie envahis par des bactéries),
ou causant l’occlusion (cancer de la prostate bloquant la circulation).
Uniquement quelques exemples ont été listés ci-dessus pour référence. De nos jours, seul le microscope électronique scientifique peut permettre de voir ces bactéries, c’est pour cela que tous les scientifiques se demandent :
- Pourquoi les yeux du Bouddha sont comparables au microscope électronique ?
- Comment le Bouddha, à cette époque-là (il y environ 2800 ans), pouvait voir ces bactéries ?
- Si une personne dit qu’il ne faut pas croire en les Sutras, pourquoi il y a 2800 ans, cette "connaissance des bactéries" était-elle si réelle ?
- Ou bien, était-ce des extra-terrestres qui avaient donné un microscope au Bouddha pour regarder ? Si oui, le Bouddha aurait dit à Ses disciples qu’Il avait utilisé tels instruments ou au travers de tels objets pour voir. Mais selon les Sutras, les disciples du Bouddha qui avaient des yeux divins étaient nombreux, ils utilisaient aussi leurs yeux divins pour regarder les bactéries et les micro-organismes !
Le Bouddha utilisait l’oeil divin (remarque : on devrait dire l’œil du Bouddha) pour observer, se servant de la grande sagesse du miroir parfait pour analyser, puis le disait aux "disciples qui ne comprenaient pas la science" (remarque : en étant concentré sur la pratique spirituelle et la méditation, on n’est naturellement pas investi dans la science), et était contraint d’employer le terme "ver" pour juste donner des explications.
Nous allons de nouveau voir quelques exemples qui se trouvent dans les Sutras pour vous inviter à réfléchir encore >>>
- Dans le Sutra de méthodes importantes et secrètes pour le traitement des maladies de méditation【治禪病秘要法】(15è volume du Canon bouddhiste), il est dit : « L’organe de l’enfant, situé en-dessous des organes vivants et au-dessus des organes mûrs (remarque : cela désigne peut-être l’utérus), possède 99 couches de membranes, il ressemble à la vessie d’un cochon mort (remarque : cela désigne peut-être l’ovaire féminin), est rempli de sang mauvais, avec une forme d’intestins de cheval, ronde en haut et pointue en bas (remarque : cela désigne peut-être la trompe utérine), jusqu’à la porte de reproduction ; à l’intérieur, il y a 1900 petites sections, comme les nervures de feuilles de bananier (remarque : cela désigne peut-être les cils qui se trouvent dans la trompe utérine pour faire déplacer l’ovule), et 80.000 vers (remarque : cela désigne peut-être des bactéries), restant autour ; lorsqu’on boit de l’eau, celle-ci se répand dans les quatre cent quatre veines (remarque : cela désigne peut-être l’eau qui alimente les différentes veines du corps) ; les "vers" en boivent (remarque : cela désigne peut-être le fait que les bactéries absorbent de l’eau) et crachent du pus échoué (remarque cela désigne peut-être le fait que les bactéries rejettent des sécrétions), sa couleur étant comme du sang ; dans le ventre, il y a de petits "vers" qui se divertissent à l’intérieur (remarque : cela désigne peut-être des activités irrégulières), s’accumulant pendant un mois, ne pouvant plus supporter, c’est pour cela que les femmes doivent avoir des menstruations.
- Dans le Sutra Xiuxing-didao【修行地道經】, il y a une description détaillée de la forme du foetus et de son état d’évolution tous les sept jours.
- Dans le Traité Abhidharma-kosa【俱舍論】, il y a aussi une description détaillée de la croissance du fœtus et de l’état de sa croissance mensuelle.
La sagesse du Bouddha, avec Son éveil juste, Sa connaissance juste et Sa vision juste, il y a 2800 ans, pouvait déjà connaître de manière si claire l’état d’activités des bactéries, des micro-organismes, des cellules, des cellules cancéreuses, etc. Cela rendait les scientifiques des deux derniers siècles très perplexes, ne sachant pas comment expliquer ; nous, en tant que disciples du Bouddha, nous sommes bien sûr sincèrement convaincus ! |
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